Pour y arriver,
Pascal Boniface utilise trois méthodes : le plagiat, l’autoplagiat,
l’appropriation d’articles écrits par d’autres (comme avec l’ouvrage Lexique des relations
internationales, condamné pour « contrefaçon) mais aussi l’usage
intempestif de « petites mains »… Qu’il remercie, grand seigneur, à
la fin des « Intellectuels faussaires ».
Sacia Guermit et
Magali Bernard sont remerciées pour avoir « mis en forme avec
pertinence » SON livre. Loïc Poulain pour avoir « efficacement
recherch(é) les documents et textes utiles ». Alexandre Tuaillon et Didier
Billion pour avoir donné de « précieux conseils ». Quant à Gilles
Bouley-Franchiti, il est félicité d’avoir « su enrichir ce texte par son
travail éditorial ».
Les mauvaises langues
oseront en conclure que Pascal n’a pas fait grand-chose dans cette affaire… Sauf
peut-être encaisser les droits d’auteurs.